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Reportage de Trends/Tendances  
16 février 2015 - A l’inverse de nombreuses grandes fortunes anglo-saxonnes, les mécènes belges font volontiers preuve de discrétion en matière de philanthropie à finalité humanitaire ou sociale.
Le Trends/Tendances du 12 février consacre toutefois un reportage aux engagements philanthropiques et professionnels de Myriam Ullens, épouse du baron Guy Ullens de Schooten, ancien administrateur délégué des sucreries tirlemontoises.

Trends rappelle que le couple figure dans le club des 300 premières fortunes suisses, d'après le magazine suisse Bilan.
Guy et Myriam Ullens sont surtout connus pour leur engagement en matière de mécénat culturel, principalement dans le cadre de l’Ullens Center for Contemporary Art (UCCA) qu'ils ont ouvert à Pékin.

Rescapée du cancer, Myriam Ullens a fondé en 2004 la Fondation Mimi, qui offre un soutien psychologique et esthétique gratuit aux patients qui ont reçu un traitement de chimiothérapie.
Femme d'affaires, elle assure par ailleurs la direction de la Maison Ullens, une jeune marque de prêt-à-porter présente à Paris, Aspen et Londres. Une partie des bénéfices de son entreprise contribue au financement de la Fondation Mimi. 

La fondation cherche d'ailleurs à diversifier sa collecte de fonds dès lors que, constate sa fondatrice, « les gens en ont marre des dîners de gala et des ventes aux enchères. »
Le couple Ullens est également à l'origine de la Fondation Happy House, qui soutient une école d’enseignement général à destination d’enfants orphelins, située près de Katmandou.

Source: « Maison Ullens, ce n’est pas un caprice de femme gâtée », in Trends/Tendances 12-02-2015, pp.92-93.

‘Oublier la maladie, ne fut-ce qu’une seconde’
On se souvient de ce que la Fondation Mimi s’est distinguée l'année dernière par un reportage exceptionnel, conçu par Leo Burnett France, qui fut récompensée par huit Lions d'argent et un Lion d'or au Festival International de la Créativité de Cannes (juin 2014).
Une vingtaine de personnes atteintes du cancer furent photographiées à l’instant précis où elles découvraient la métamorphose opérée par l’intervention d’une talentueuse équipe de coiffure et de maquillage.
"Un spot Internet qui s'est révélé avant tout un hymne à la vie, empli d'humanité, mais aussi d'humour et d'extravagance." d'après le quotidien français Les Echos, (23/06/2014)
La vidéo "Ne serait-ce qu'une seconde" a connu un succès foudroyant sur Youtube.

Lien vers le site de la Fondation Mimi.

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